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    Chapitre 4: Bouffer de fumer

    Comme par gentillesse on te tendis le petit rouler de salade fraîche. On te disais: Tiens réconforte toi, tiens détends toi, tiens décoince, tiens rigole un peux. Tu laissa brûler silencieusement la feuille, la salade et le bois, tu sentie et aspira. Tes poumons s'engorgèrent de noir, une noirceur semblable aux ténèbres, aux enfers... Es-ce la décente en bas? Non, pas maintenant. Tout doucement, sans un mot dieux te tendis les bras, il t'accueillie tout près de lui sur son nuage vert. L’esprit ailleurs, ton cerveau se bloqua tel un scanner en pane, l'enfers ne t'interpella pas encore. Tout s'arrêta, le monde plus beau, plus gentil, plus intéressant et plus marrant. Un monde sans guerre , un monde ou les fleurs ne pleurent pas, ou les licornes ne sont pas exclus, ou le plus petit homme a de l'importance. Soleil, arc-en-ciel , couleurs vivent. Tout cela baigner dans un silence paisible.

     Tu renouvelas, une fois, deux fois. Tu rigolas, puis te trouvas une excuse: comme sa pour rien, de temps en temps, pour m'amuser, c'était une soirée, j'étais triste, j'étais en colère, j'avais envie de mourir... Sans savoir pourquoi le noir envahit ce monde blanc, ce monde crée par ton esprit embaumer d'une vapeur malade. Les chevaux d'Hadès arrivèrent aux pas, il t'attrapèrent de leurs dents acérer,  et par surprise imprégnèrent ton corps d'une douce odeur pour certains , et nauséabonde pour d'autres . Dieu disparus, l'enfers apparue.

     Sans le savoir ton corps était envahit par la mort, sans le savoir tu étais déjà mort. La vie ne l'étais, l'enfers était là et elle te hantait toi. Seulement toi . Tu fuie la réalité a toutes jambes, tu fuis qui tu es, tu es mort, tu es infecté.

    Tu es drogué. Drogué par la tristesse, droguée par ce que la beauté de la vie, n'a de sens que si tu tiens un spliff entre tes doigt, drogué par un malheur qui t'es éternel, drogué par l'abandon et la l'acheter. Tu es drogué par un enfers qui est seulement beau avec ce que tu crois être la vie: une feuille d'herbe de cannabis.

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    Ce texte n'est pas pour moi. Il ne me concerne pas. Il parle , et donne des mots sur des actions qui m’échappent, des actions que j'ai vue,aujourd'hui, hier, avant-hier, il y a un moins, voir un ans. Moi même j'ai crus que fumer  résoudrait tout, que oublié un moment changerais tout. Seulement il n'en est rien, fumer ne change rien, fumer ne rend pas la vie plus belle ou moins belle, fumer ne te fais pas oublier. J'ai des amis. Ils croient que tout es beau si on fume, ils parlent a cœur ouvert que sous l'effet de cette cochonnerie et ils croient vivre. Alors qu'en faite ils meurent tous uns par uns, doucement mais sûrement. Et nous, que faisons nous? Rien, on regarde alors qu'il faut agir. Cependant, les mots et les actions ne servent pas quand même la vision et la réflexion est guidé par une simple fumé verte. Alors, j'écris pour car les hommes savent lire. Qui sais, peut être l'un deux me liras! 

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    -Feel-


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