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    Chapitre 5: L'espoir fait vivre

    Dans le silence assourdissant, loin du ciel et  plus profond sous la terre, au creux  de son centre semblable a son  cœur , au milieu de ces entrailles et bien plus loin encore, bien plus proche des enfers ce trouve les ténèbres. Quelque part non loi du noir, ce trouve aussi les abysses du drame et de la mélancolie. Son eaux est calme, froide voir glaciale. Les vagues sont absente et le silence est bruyant. Presque insupportable. Pas un mot. Pas un souffle. Pas une brise d'aire. Une eau noir comme de l'encre, et froide comme la mort s'étend a perte de vue. Ni terre, ni sable, ni sol sur lequel ce tenir debout. Aucune survie n'est pensable, aucun espoir ne peut émerger face a ce dédale d'eau. A croire que l'Achéron, fleuve ou le chagrin est éternelle c'est imposé ici pour noyer toute vie. 

    Lorsqu'on survole d'un simple regard cette eaux comme de la bout, on y voie rien. Noir comme la mort. Noir comme la peur. Noir comme la tristesse et la souffrance. Rien n'y personne. Cependant, des bruits d'eau font surface et voilà qu'une tâche apparait. Elle semble ce débattre, s'agiter tel un oiseau qui s'étouffe, comme un asticot couper en deux, comme un chien enragé et tel une lueur d’espoirs tout juste ravivé. En y regardant de plus près, on remarque que ce petit être c'est égarer. Le courant c'est levé:il va l'engouffrer dans son ventre, le manger, le mâcher , l'avaler et le recracher en morceau. L'être humain est rouge de colère face a la lâcheté de l'eau, bleu comme l'espoir,blanc comme la pureté et jaune comme la gaieté. Colorer des couleurs primaires, des couleurs de la vie, il avance droit comme un rayon. Coupant l'eau en deux, il avance a la recherche de la terre lumière. Les gouttelette sombre martèle son visage pâle , les vagues la font reculer et la tempête qui ce lève, l'assomme de son bruit presque silencieux. 

    La lumière est encore loin, bien loin, presque infiniment loin. Il faut remonter L’Achéron fleuve du chagrin, passer outre les abysses du drame et de la mélancolie, rejoindre les ténèbres puis l'enfers. Combattre les entrailles qui ce tordes , calmer les battements de ce petit cœur foncé par le mal, transpercé la coquille terrestre et enfin ... Et enfin admirer la lumière. Tout cela est possible pour le petit être. En effet, il virevolter comme une hirondelle, il nage ou vole par delà les couchent, l'obscurité et la douleur. Elle avance guider par la tristesse,ou tout simplement guider par le désarroi d'une perte. Cela fait sa force;Car Elle veut vivre.

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    Ce texte est pour une amie #C , mais aussi elle parle de moi. Mal-grès tout le malheur, toute la tristesse qui c'est abattue sur moi je n'ai jamais cesser de croire en la vie, je n'ai jamais cesser de me battre pour atteindre la lumière. Bientôt 3 jours que mon chat a disparus, je suis accabler et je me retrouve encore une foie a lutter contre ma tristesse qui est sombre . Quand on ce sent seul, le silence est presque insupportable alors on écoute de la musique, mais quand on ce bat le bruit et tout ce qui nous entoure n'a aucune importance. On fonce tête baisser vers la lumière. Je souhaite a tout le monde de na pas oublier que la vie est une chienne, un putain de bordel mais c'est ce qui en fait sa beauté. Je souhaite a tous, de garder leur courage et leur espoir, car derrière une couche noir de gâteau brûler ce cache souvent le meilleur. 

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    -Feel-


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  • ~4

     

    Chapitre 4: Bouffer de fumer

    Comme par gentillesse on te tendis le petit rouler de salade fraîche. On te disais: Tiens réconforte toi, tiens détends toi, tiens décoince, tiens rigole un peux. Tu laissa brûler silencieusement la feuille, la salade et le bois, tu sentie et aspira. Tes poumons s'engorgèrent de noir, une noirceur semblable aux ténèbres, aux enfers... Es-ce la décente en bas? Non, pas maintenant. Tout doucement, sans un mot dieux te tendis les bras, il t'accueillie tout près de lui sur son nuage vert. L’esprit ailleurs, ton cerveau se bloqua tel un scanner en pane, l'enfers ne t'interpella pas encore. Tout s'arrêta, le monde plus beau, plus gentil, plus intéressant et plus marrant. Un monde sans guerre , un monde ou les fleurs ne pleurent pas, ou les licornes ne sont pas exclus, ou le plus petit homme a de l'importance. Soleil, arc-en-ciel , couleurs vivent. Tout cela baigner dans un silence paisible.

     Tu renouvelas, une fois, deux fois. Tu rigolas, puis te trouvas une excuse: comme sa pour rien, de temps en temps, pour m'amuser, c'était une soirée, j'étais triste, j'étais en colère, j'avais envie de mourir... Sans savoir pourquoi le noir envahit ce monde blanc, ce monde crée par ton esprit embaumer d'une vapeur malade. Les chevaux d'Hadès arrivèrent aux pas, il t'attrapèrent de leurs dents acérer,  et par surprise imprégnèrent ton corps d'une douce odeur pour certains , et nauséabonde pour d'autres . Dieu disparus, l'enfers apparue.

     Sans le savoir ton corps était envahit par la mort, sans le savoir tu étais déjà mort. La vie ne l'étais, l'enfers était là et elle te hantait toi. Seulement toi . Tu fuie la réalité a toutes jambes, tu fuis qui tu es, tu es mort, tu es infecté.

    Tu es drogué. Drogué par la tristesse, droguée par ce que la beauté de la vie, n'a de sens que si tu tiens un spliff entre tes doigt, drogué par un malheur qui t'es éternel, drogué par l'abandon et la l'acheter. Tu es drogué par un enfers qui est seulement beau avec ce que tu crois être la vie: une feuille d'herbe de cannabis.

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    Ce texte n'est pas pour moi. Il ne me concerne pas. Il parle , et donne des mots sur des actions qui m’échappent, des actions que j'ai vue,aujourd'hui, hier, avant-hier, il y a un moins, voir un ans. Moi même j'ai crus que fumer  résoudrait tout, que oublié un moment changerais tout. Seulement il n'en est rien, fumer ne change rien, fumer ne rend pas la vie plus belle ou moins belle, fumer ne te fais pas oublier. J'ai des amis. Ils croient que tout es beau si on fume, ils parlent a cœur ouvert que sous l'effet de cette cochonnerie et ils croient vivre. Alors qu'en faite ils meurent tous uns par uns, doucement mais sûrement. Et nous, que faisons nous? Rien, on regarde alors qu'il faut agir. Cependant, les mots et les actions ne servent pas quand même la vision et la réflexion est guidé par une simple fumé verte. Alors, j'écris pour car les hommes savent lire. Qui sais, peut être l'un deux me liras! 

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    -Feel-


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